MAJICAD

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mardi, février 25 2014

Insensiblement...

Bonjour à tous les adeptes de MajiCad, aux curieux, et autres vagabonds.

Ce blog étant très peu actif et la lutte contre les spamers prenant trop de temps, je préfère le fermer. Je reste à la disposition de ceux qui veulent faire avancer le bidule sur la boite aux lettres de MajiCad.

Il n'est cependant pas exclu, qu'en fonction des circonstances, je me fende d'un billet ou que je réouvre le blog... Va savoir ... Quand on est à la retraite tout est permis... (ben ouais vous vous en doutiez un peu, non?)

Toujours attentif...

Michel MARTIN

mercredi, mars 20 2013

Quel avenir pour MajiCad?


   
Peut-être savez vous, messieurs les cadastreurs, que vous avez failli avoir MajiCad pour outil officiel? Mais certains en ont décidé autrement... Les raisons sont cachées mais ne sont pas techniques, et l'espoir est encore permis car les portes restent en principe ouvertes... Cet espoir qui fait soit disant vivre, mais gare à ne pas se bercer d'illusions; alors je fais comme si la décision était définitive, c'est mieux pour le moral.
    Je ne vous parlerais pas de la solution alternative, mais soyez en sûrs, elle est certainement beaucoup plus économique! Par les temps qui courent, ce serait mieux. Fermons la parenthèse.

    Je vais néanmoins essayer de rassurer ceux qui se demandent si ça vaut le coup de s'investir dans un logiciel dont l'avenir est apparemment incertain.

    Pour pérenniser le produit, je mène deux actions en parallèle:
* J'essaye de mettre la barre technique suffisamment haute pour que MajiCad conserve plusieurs années d'avance, et en même temps,
* je cherche un successeur. De préférence un barge du développement informatique, comme moi, un vrai faux fainéant, qui voudrais avant tout se faciliter son travail quotidien et éventuellement en faire profiter les autres... tout en gardant si possible son indépendance.
A moins que les sources ne servent à la création d'un autre produit... Tout est permis.

    Aussi longtemps que je prendrai plaisir à créer et développer, je maintiendrai le produit. Et en admettant que l'ampleur de la tâche fasse fuir les candidats à la succession, je mettrai à terme les sources en téléchargement libre et advienne que pourra...

    Voilà heueu.. bon! (comme on dit dans les tutoriels), je ne sais pas si ce que je dis est rassurant, mais je reste persuadé, que: vu la simplicité du logiciel, et sa puissance (à ce qu'on m'en dit) il reste rentable de s'investir dedans. D'autres que moi l'ont compris, et ce n'est pas parce que des stages de formation ont eu lieu à l'ENC, que je dit ça...

    Continuons donc à poser des questions et à faire évoluer MajiCad...

    Bien à tous..

Michel MARTIN

samedi, novembre 3 2012

MajiCad et Google Earth

Google Earth, qui est déjà une référence en matière de visualisation réaliste du terrain, offre aussi des possibilités de superposition de documents en tout genre via le format KML. Alors pourquoi ne pas l'utiliser comme interface de consultation du plan cadastral?

Un plan cadastral superposé à une photo aérienne ou spatiale du terrain, c'est autre chose qu'un extrait de plan muet. D'autant que la visualisation 3D est un réel plus dans les zones à fort relief.

Le plan sur Google Earth peut être structuré de différentes manières, allant du simple affichage du parcellaire, à un plan interactif pouvant donner des renseignements complémentaires sur la base de données littérale... Sans oublier les possibilités de localisation par double-clic sur les objets des listes à gauche du plan.

J’ai choisi d’afficher les noms de rues, car il existe quelques différences entre celles qui sont inscrites au cadastre et celles qui sont présentées par Google-Earth. On peut basculer des unes aux autres en jouant sur les cases à cocher ( )1ZONCOMMTEX dans l’onglet « Lieux » et ( )Routes dans l’onglet « Données »

- Un simple clic sur une parcelle donne les informations littérales attachées.

- Pour localiser un lieu-dit : ouvrir « 3LIEUDITTEX » et double-clic sur le nom de votre choix. Idem pour localiser une rue, un cours d'eau, une parcelle...

- Pour les propriétaires, il est déconseillé de tout cocher. Cocher un nom suivi d'un double-clic permet de localiser l'ensemble des parcelles du propriétaire dans une section. - etc...

Bonne visualisation… petite démo ici

Ha oui, j'oubliais... Dans MajiCad, faire "Ouvrir fichier" puis "Exporter KMZ/KML". Si la base littérale PCI est active, il y aura plus de choses...

Michel MARTIN

mardi, avril 17 2012

MajiCad, le Rétablissement, et le Calcul en bloc:

Comme vous l'avez peut-être constaté, MajiCad est équipé d'une palette d'outils dite de Calcul en bloc.

Elle sert à piloter de façon interactive le module de calcul PCB2D qui permet, le géoréférencement d'un ensemble de feuilles de plan à partir de quelques points d'appuis et de liaisons de feuille à feuille.
Tour d'abord, une remarque sur ce type de calcul issu de la photogrammétrie:
La méthode de calcul consiste à rendre minimum la somme des carrés des écarts résiduels sur les appuis. Les paramètres ainsi obtenus correspondent à des transformations conformes ou dites de Helmert.
Dans un milieu précis comme la photogrammétrie tout écart sortant des tolérances correspond généralement à une faute. On isole le point faux et tout va bien.

En matière de Lambertisation les écarts résiduels sont plus représentatifs de la qualité locale du plan que de fautes d'observation, c'est à dire à de distorsions issues de fautes de levé, de report ou de calcul, sans compter celles qui sont issues de la reconduction des mailles napoléoniennes.
Alors quelques questions surviennent: améliore-t-on le géoréférencement de la feuille en isolant les forts écarts, ou le dégrade-t-on? Doit-on générer de forts écarts dans une zone parce qu'elle est supposée à priori discordante ou doit-on au contraire conserver les appuis de telles zones pour éviter d'y apporter des compensations aberrantes en cas de traitement local du problème?
Oui, à un moment donné on fini par se demander comment traiter les problèmes de discordances du plan avec le terrain, plutôt que d'essayer de fignoler les paramètres d'une transformation conforme qui, en aucun cas ne pourra correspondre à l'ensemble d'une feuille, surtout s'il s'agit d'une feuille rénovée par voie de mise à jour.
Le remaniement est une solution de luxe qui ne répond pas à l'urgence du problème.

Une autre solution pourrait consister à exploiter les écarts résiduels constatés lors de la Lambertisation. Chaque écart sur les appuis correspond en effet à une correction à apporter au parcellaire voisin pour le faire coïncider avec le terrain. Mais jusqu'où propager les compensations? Chaque angle du parcellaire devrait recevoir une compensation qui est fonction de la distance à un point d'appui et de l'écart résiduel de celui-ci.
Des universitaires ont étudié le problème, et l'un d'entre eux, Patrice Langlois, a écrit une théorie intéressante sur la pondération proportionnelle à l'inverse du carré des distances . C'est cette méthode qu'utilise MajiCad à travers HEDEPAG.

La compensation locale diminue très vite quand on s'éloigne d'un appui, mais elle reste cependant relativement homogène. Or, selon l'origine de l'erreur locale, il peut exister des endroits ou il serait souhaitable de créer une rupture dans la propagation des compensations.
Pour répondre à ces besoins, le système de compensation de MajiCad propose un outil supplémentaire: la "polyligne-faille". Par exemple, si on constate, par superposition à une ortho ou à un semis de points GPS, des phénomènes de cisaillement, (cas des bords de ruisseaux/routes issus de levés distincts), on peut poser une polyligne-faille qui indique au logiciel de n'utiliser que les appuis qui sont d'un même côté de la faille.

Autre difficulté: la méthode de calcul des points de liaisons. Ils sont traditionnellement obtenus par moyenne des déterminations individuelles dans leurs feuilles respectives. Cette façon de faire génère une discordance avec les appuis qui sont directement issus du calcul en bloc. Prenons par exemple le cas extrême ou un point de liaison est superposé à un appui sans être déclaré appui (liaison No 1001 et appui No2). L'appui n'aura pas le même jeu de coordonnées que le point de liaison moyen! Seule la détermination individuelle du point de liaison dans la feuille de l'appui aura le même jeu de coordonnées. Ce problème, insignifiant rappelons le pour le calcul de transformations conformes, prends évidement une assez grande importance si on considère le principe de départ de la compensation gravitaire, à savoir la représentativité des écarts résiduels.
Le module de calcul en bloc a donc été modifié de façon à pouvoir tenir compte, d'une part de la qualité de chaque feuille de l'assemblage, et d'autre part de la proximité des appuis pour pondérer la moyenne des points de liaisons.

C'est tout pour les moteurs de calcul. Voyons maintenant l'interface:
Mise en place du contexte:
Créer un Nouveau fichier et appeler en référence l'ensemble des feuilles à géoréférencer et les feuilles voisines pouvant servir de feuilles d'appuis.
Déclarer les feuilles à géoréférencer comme appartenant au bloc et affectez leur éventuellement un poids dépendant de leur qualité/échelle.
Cochez "Tours de feuilles" et "appuyez sur Mappe et Source", faire une vue d'ensemble et sauver.

Pour un calcul en bloc, il faut déclarer l'appartenance des appuis/liaisons à une feuille du bloc. Le bouton "feuille" permet de pointer un objet quelconque de la feuille de plan pour indiquer que le point suivant va lui appartenir. Cette appartenance fait partie du numéro de point.
Pose des appuis: 1er pointé = position relative à la feuille, 2eme pointé = position absolue du point.

Utilisation des orthophotos:
Les orthos sont un excellent garde fou contre toute faute de transformation des plans. Le but à atteindre est la supperposabilité au terrain, et les orthos sont sensées en être une image fidèle et géoréférencée. Il faudra, bien entendu, se forger une opinion par quelques mesures GPS, mais en général, c'est le cas. Donc, après contrôle, les orthos peuvent fort bien servir de référentiel pour le rétablissement du plan.

Le RETABLISSEMENT ? tiens!, un nouveau concept pour le plan cadastral? Ben oui, si on considère que la volonté initiale est une représentation fidèle au terrain, La mise en conformité avec le terrain dont on parle, ne fait que rétablir le plan dans ce qu'il a toujours représenté aux yeux des usagers. Fermons la parenthèse.

Quand on utilise une ortho comme appui dans MajiCad, on dispose d'une petite fonction, finalement très intéressante: le glissement du plan sur l'ortho.
Un petit glissement par approches successives, permet en effet de superposer une petite zone du plan et de l'ortho. Pour poser un appui, il suffira de cliquer au même endroit pour la position initiale et finale du point. C'est le décalage en cours qui permet au logiciel de connaitre la position absolue de l'appui. Cette façon de faire est aussi de nature à éviter la pose d'appui sur un sommet de parcelle qui s'avèrerait discordant avec son voisinage immédiat. La qualité de l'adaptation n'en sera que meilleure.

N'hésitez pas à lancer des calculs fréquents pour voir les résultats, car, encore une fois, ce ne sont que les écarts visuels du plan avec le terrain qui sont à considérer, à l'exclusion de toute interprétation abusive des EMQ.

Faites évidement des calculs conformes, mais, par curiosité, appuyez une fois sur « calcul définitif adaptatif ». Le risque est nul puisque ce sont des fichiers spéciaux qui sont créés à chaque fois. Comparez Avant/Après à l'aide des fonctions "Voir fichiers du bloc" et "Voir fichiers transformés"...
M'en parler...

Michel MARTIN

dimanche, mars 4 2012

Le grand portail et l'entrée des artistes...

Bonjour,
    Voici quelques temps déjà, on me posait des questions sur la capacité de MajiCad de gérer des objets genre "à trous" ou "archipels. J'ai même entendu des gros mots du genre "MajiCad n'est pas "Topologique"".
Voici ma réponse:
    La structure en objets complexes ou dite "topologique" (encore que ce mot reste à définir pour chaque type de gestion), est justement le problème des logiciels de gestion. Le rôle d'un logiciel de création, comme MajiCad est avant tout de faciliter la création/ modification d'un plan en s'affranchissant des redondances qu'exigent certains types de gestion.
    Au départ, les rôles sont biens définis, et tout logiciel de gestion de plan a son portail d'entrée pour les données brutes de confection et non encore structurées. Si on prend PCI, par exemple, Son portail d'entrée s'appelle APIC_PCI et son rôle est de donner au plan la structure attendue pour la gestion dans PCI et le lien avec les bases alphanumériques.
    On voit donc bien qu'on ne devrait pas poser les questions ci-dessus à propos de MajiCad, mais plutôt à propos du portail d'entrée: "Le portail d'entrée peut-il reconstituer une structure de gestion "topologique" à partir des données "spaghettis" de MajiCad, et notamment les trous et archipels?". Alors là la réponse est évidemment oui, puisque MajiCad respecte le cahier des charges sur la structure attendue.

    Le véritable problème vient de la complexité, du manque de convivialité, et des lacunes du portail d'entrée. Et on commence alors à se demander s'il n'y aurait pas quelque part, une porte de service qui permettrait d'accéder directement au château.
Je n'ai jamais voulu forcer cette porte, car il s'agirait d'une effraction, mais force est de constater que, le châtelain a lui même laissé trainer la clé. La porte de service est ouverte puisque des données structurées natives, non générées par le portail d'entrée, sont maintenant acceptées.
    Si on tient compte de ce dernier fait, on comprend mieux les questions... Et je vais en faire ma propre traduction: "MajiCad est-il capable d'alimenter le château en passant par la porte de service?"
Inutile de faire plus de suspense sur la réponse: c'est OUI! Quand un logiciel est capable de créer une structure en Noeuds/Arcs/Faces à partir d'une structure filaire désordonnée, en générant tout ce qui est trou et tour d'ilot, comme dans le cas du remaniement, on comprend bien que c'est facile pour lui...
  La preuve? Aller dans la page "Analyse PCI" et appuyez sur le bouton "Examiner". Quand vous aurez traité toutes les erreurs bloquantes, et obtenu le message "PRET A L'EXPORTATION...", interrogez les objets, et vous constaterez rapidement, qu'il existe: des objets parent, qui se trainent leurs fils, des objets enfants genre trous ou libelles... que les archipels sont visibles etc...
    Cette structure est complètement temporaire et n'existe que jusqu'à ce qu'une exportation ou une modification soit faite. Encore une fois: ce n'est pas le problème de MajiCad de conserver une structure lourde... mais pour que la porte de service devienne l'entrée des artistes... ;-)

Michel MARTIN

dimanche, janvier 1 2012

EVOLUTION

Bonjour, Ces derniers temps, quelques évolutions structurelles ont eu lieu, et cela a provoqué quelques Bugs. Vous m'en voyez désolé. Je tiens à remercier les utilisateurs réguliers qui surveillent le bidule, me signalent les bugs et proposent des évolutions. MajiCad continue...

Michel MARTIN

vendredi, juin 18 2010

Le géoréférencement d'images:

- Petit préambule pour vous rassurer: Si un géoréférencement existe, Majicad l'exploitera sans rien demander, et l'image sera correctement superposée aux vecteurs DXF. MajiCad exploite, par ordre de priorité, les géoréférencements "geo_...txt", "tfw" (ou jgw ou bpw ...), "tab" et "grf".
Le format ECW intègre son géoréférencement dans le fichier-image.

- Deuxième parenthèse: il est inutile de vouloir re-géoréférencer une image, juste parce qu'elle ne colle pas bien avec le plan dans une zone. Pour assurer une superposition locale, vous disposez d'une translation d'image, dont vous pouvez abuser... (onglet "images" de la fenêtre "références").

- Pour les images non géoréférencées, du genre: copie d'écran de google Earth, scan de permis ou autres, il faut opérer comme suit:
MajiCad ne sachant pas ou doit aller l'image, va vous la présenter plein écran, à l'endroit ou vous avez zoomé. Il suffira donc de préparer un zoom qui correspond approximativement à l'endroit ou doit aller l'image, pour pouvoir montrer facilement les points du calage.
Le géoréférencement dans MajiCad est basé sur le calcul d'une adaptation d'helmert. Il faudra donc faire un calage sur 2 points au minimum, ou plus si vous voulez avoir des écarts résiduels montrant la qualité du calage.
Pour chaque point, il faut indiquer en premier, la position d'origine sur l'image, puis la position souhaitée dans le plan. Petit rappel: pour saisir manuellement un jeu de coordonnées, mettez vous en "accrochage XY".
Le calcul de l'adaptation se fait à partir du deuxième point d'appui. Pour supprimer un appui, il faut utiliser le menu popup accessible par le bouton droit de la souris.
A la validation, deux géoréférencement sont créés: PCI_Vecteur et TAB, et l'image vient prendre sa position sur le plan, en subissant éventuellement une rotation.
Si vous voulez refaire le géoréférencement, vous pouvez le faire sur l'image ainsi présentée. Il est inutile de vouloir annuler le premier géoréférencement!
Remarque: Le fichier original de l'image n'est jamais touché! La présentation géoréférencée ne figure que dans la mémoire de MajiCad.

Michel MARTIN

jeudi, avril 29 2010

La base utilisateur

La base utilisateur (LASCOT ou autre)
MajiCad peut utiliser une base de données personnelle, exportée au format CSV (séparateur point-virgule). Les champs utiles doivent être décrits dans le fichier de configuration 'prefer.ini'. Pour assurer la liaison avec le graphique, il faut respecter les champs obligatoires: No de commune, Section, No Parcelle.
Les autres champs sont libres, ils doivent simplement être décrits sous la forme: nom-du-champ, rang-du-champ-dans-la-base (voir prefer.ini).
Un autre champ important est le champ 'Constatation'. Ce champ indique si la fiche a été traitée ou non, MajiCad s'en sert pour visualiser l'avancement des travaux.
La base utilisateur fonctionne sur le fichier principal, mais aussi sur tous les fichiers en référence qui portent le même numéro de commune. On peut donc imaginer que le fichier principal ne contienne que les constructions en cours, alors que les planches cadastrales d’origine sont en référence.
On peut, par un simple clic, visualiser toutes les parcelles concernées par une fiche, ou toutes les parcelles restant à traiter. Pour classer une fiche, on peut utiliser le bouton 'Date du jour' qui sert le champ 'Constatation'. Il suffira de mettre à blanc ce champ pour réactiver la fiche.
Tous les champs sauf le No de commune sont modifiables. Toutes les modifications seront inscrites dans la base d'origine par substitution de champ, la base originale reste donc complète, quels que soient les champs choisis pour être exploités dans MajiCad.
La combobox contenant les Nos de parcelles est en fait un navigateur dans la base, qui permet de centrer sur l'écran la parcelle concernée par une fiche. Les parcelles concernées par plusieurs fiches sont signalées. L’appel d’une fiche peut aussi se faire à l’aide de la fonction générale ‘interroger’ appliquée au le No de parcelle.

Analyse de la base:
Cette "analyse" consiste, pour toutes les parcelles non trouvées sur le plan, à rechercher dans la base PCI les parcelles appartenant au propriétaire. Ces parcelles sont proposées comme étant probables, et peuvent être automatiquement validées après enquête graphique. La parcelle à retenir pour la fiche devra figurer immédiatement après le mot-clé 'Possibilités:'. Les résultats d'une analyse peuvent être sauvés, puis rappelés pour un traitement complet avant validation.

La qualité des résultats d’une analyse est étroitement liée à la présence de l’ensemble des sections en référence, sinon son fonctionnement est très localisé et les probabilités tronquées. Pour affiner l'analyse, il faudra peut-être corriger certaines désignations du propriétaire qui peuvent prêter à confusion...

Michel MARTIN

samedi, avril 10 2010

Bienvenue sur le blog MajiCad

Bonjour et Bienvenue à tous...

MajiCad commence à être suffisamment abouti pour envisager un blog.
Les questions se font de plus en plus pressantes et répétitives, et cette forme de communication devrait permettre de répondre aux besoins de chacun via des échanges de trucs et tuyaux divers entre utilisateurs.
Bien que MajiCad soit plus spécialement adapté aux besoins du Cadastre, je ne négligerai pas les utilisateurs extérieurs à ce service qui peuvent contribuer à élargir le domaine d’application de ce logiciel.

Bref rappel des possibilités:
Pour les « cadastreux »:
- MajiCad devrait vous permettre de faire vos croquis de conservation en partant sur le terrain avec la base Lascot et la base PCI avec des ortho-photos en fond de plan.
- MajiCad sait traiter de A à Z les chantiers de remaniement, et même vous apporter sur le terrain la liaison avec la base propriétaire de PCI.
Pour les autres, ce seront plutôt les possibilités de géo-référencement d'image et de transformations de coordonnées « reformantes » qui seront sans doute plus intéressantes.

Pour plus de précisions sur ce logiciel, voir http://michel.martin34.free.fr/MMmajicad.html

J’attends donc impatiemment vos questions et suggestions ou toute remarque pouvant faire évoluer MajiCad.

Michel MARTIN