Peut-être savez vous, messieurs les cadastreurs, que vous avez failli avoir MajiCad pour outil officiel? Mais certains en ont décidé autrement... Les raisons sont cachées mais ne sont pas techniques, et l'espoir est encore permis car les portes restent en principe ouvertes... Cet espoir qui fait soit disant vivre, mais gare à ne pas se bercer d'illusions; alors je fais comme si la décision était définitive, c'est mieux pour le moral.
    Je ne vous parlerais pas de la solution alternative, mais soyez en sûrs, elle est certainement beaucoup plus économique! Par les temps qui courent, ce serait mieux. Fermons la parenthèse.

    Je vais néanmoins essayer de rassurer ceux qui se demandent si ça vaut le coup de s'investir dans un logiciel dont l'avenir est apparemment incertain.

    Pour pérenniser le produit, je mène deux actions en parallèle:
* J'essaye de mettre la barre technique suffisamment haute pour que MajiCad conserve plusieurs années d'avance, et en même temps,
* je cherche un successeur. De préférence un barge du développement informatique, comme moi, un vrai faux fainéant, qui voudrais avant tout se faciliter son travail quotidien et éventuellement en faire profiter les autres... tout en gardant si possible son indépendance.
A moins que les sources ne servent à la création d'un autre produit... Tout est permis.

    Aussi longtemps que je prendrai plaisir à créer et développer, je maintiendrai le produit. Et en admettant que l'ampleur de la tâche fasse fuir les candidats à la succession, je mettrai à terme les sources en téléchargement libre et advienne que pourra...

    Voilà heueu.. bon! (comme on dit dans les tutoriels), je ne sais pas si ce que je dis est rassurant, mais je reste persuadé, que: vu la simplicité du logiciel, et sa puissance (à ce qu'on m'en dit) il reste rentable de s'investir dedans. D'autres que moi l'ont compris, et ce n'est pas parce que des stages de formation ont eu lieu à l'ENC, que je dit ça...

    Continuons donc à poser des questions et à faire évoluer MajiCad...

    Bien à tous..

Michel MARTIN